Le combat de la prospérité partagé!

Ubuntu, bumuntu: Le socle de notre Afrique

Les Sociétés où le communautarisme fait la loi, les sociétés qui ignore l'individualisme du système capitaliste occidental. La bisoité vient du lingala biso qui veut dire (nous), il s'agit d'un (nous) planétaire, inclusif , qui intègre le (je) et qui ne s'oppose pas aux autres groupes considéré comme des ennemis.

En effet, la bisoité est un néologisme qui a été conçu et développé philosophiquement pas le Professeur Tshiamalenga Tmuba, dans l'objectif de souligner la mentalité africaine qui serait axée sur le (nous) et non sur le (je) individuelle et égoïste, sur la communauté et sur l'individu isolé ou coupé de sa communauté d'appartenance.

D'ailleurs, le (je) ou l'individu trouve son sens et son épanouissement personnel quand il est harmonieusement intégré dans le (nous) ou dans la communauté. Nous sommes, donc je suis, je suis, car nous sommes. Il ya a là une virtualités circulaire a l'instar de deux vases communicants, qui se fécondent mutuellement sans toutefois s'aneantir.

Le mot Ubuntu ou Bumuntu est traduit en français pas l'humanité, un ensemble de valeurs fondamentales, humaines, qui régissent les sociétés africaines. Les africains voudrais que leurs sociétés modernes et leurs jeunes démocratie soient imprégnées de valeurs jaillissant de l'Ubuntu ou Bumuntu. En ce sens, ils sont là des concepts fondamentaux constituent le socle des sociétés africaines.

Cela dit, il est capital de se demander, quel est le fondement de la philosophie africaine de l'ubuntu ou Bumuntu. Pour bien comprendre ces valeurs, il faut d'abord saisir les dimensions constitutive du Muntu muine, c'est à dire la personne humaine tout court, sans distinction d'ethnie, qui est appelée à les vivre concrètement dans sa vie quotidienne au sein de la société.

1. Le Muntu est tourné vers la source primordial
2. Le Muntu est tourné vers ses semblables.
3. Le Muntu est tourné vers le cosmos.

Le Muntu est tourné vers la source primordial a l'instar du tournesol héliotrope, qui suit chaque instant la direction du soleil, il est ontologiquement polarisé par la source unique primordiale. Cette dernière crée et habite la réalité créée en l'orientant vers elle .

Le Muntu est tourné vers ses propres semblables, il éprouve son existence comme celle d'un être qui n'est pas un atome isolé des autre, mais plutôt comme une expérience de la membralité. Ça veut dire que le Muntu est défini et se définit lui-même comme membre d'une grande communauté humaine, appelé a tisser des bonnes relations avec les autres membres de la communauté dans un objectif principal celui de promouvoir la vie. Il s'agit donc de tenir une société communautaire, individuelle, et par le travail, en vue de l'éclosion d'une Afrique debout et d'une humanité planétaire toujours plus ennoblie.

L'être humain ou le Muntu est polarisée vers ses semblables, faute de quoi, son être est comme diminué, condamné à la dégradation anthropologique.

Le Muntu est tourné vers le cosmos, ce dernier partage le même espace cosmique avec les animaux, les plantes, les arbres, ect. En effet, c'est grâce à l'interaction entre tous les coéquipier qui constitue le peuplement cosmique que le Muntu trouve son épanouissement personnel et collectif. Les traditions culturelles et spirituelles africaine renseignent que le Muntu est constitué du divin, le coryphée de la liturgie cosmique universelle, et par conséquent, il est appelé à veiller à l'harmonisation et à l'équilibre écologique.

Le Muntu est sacerdoce qui célèbre, par ses actes humains, responsable et imprégnés d'amour, la liturgie cosmique en vue de sauvegarder tout ce qui est créé. Le cosmos est un don de la source dont le Muntu est seulement le gardien. En ce sens l'homme n'a pas de quoi se pavoiser, il est un simple jardinier paysagiste appelé a prendre soin du grand jardin qu'est le cosmos lui-même, car l'homme est selon nos traditions culturelles et spirituelles un cosmos en miniature, un êtres composé des éléments de la nature et du cosmos . Pour le Muntu prendre soin de cosmos signifie se protéger soi-même.

La désinfection chimique du réseau de distribution d'eau et ses impacts

La désinfection des eaux usées vise l'inactivation ou la destruction des microorganismes pathogènes présents dans les eaux usées. Toutes les installations de traitement de l’eau passent par une étape de désinfection pour inactiver les pathogènes. Ce processus peut utiliser différents agents comme le chlore, l’ozone, la chloramine et les UV.

Après désinfection, l’eau est considérée comme sûre. Dans les pays qui se passent de désinfectants en aval de l’usine de traitement, les ingénieurs ont pour objectif de produire de l’eau qui ne contient pas de trop fortes concentrations de substances biodégradables qui pourraient faciliter la croissance microbienne dans les tuyaux. Cette concentration de microbes, sous forme de biofilms, peut être indésirable car elle contribue à la corrosion et à la dégradation de la qualité de l’eau, et peut également être un nid à pathogènes. 

Dans leur grande majorité, les systèmes d’eau potable dans le monde industrialisé ont été efficients pour nous fournir de l’eau sûre. Cependant, il y a toujours des situations problématiques qui émergent, porteuses de conséquences sur la sûreté de l’eau potable. 

De façon générale, les pays du monde industrialisé ont développé un niveau élevé de traitement des eaux. Qu’en est-il des pays en voix de développement ou émergents, où les réseaux de distribution ne sont pas segmentés et les raccordements ne cessent d’accroitre? Quel danger peut présenter une trop grande concentration des désinfectant résiduel dans le système de distribution d’eau; tel le chlore à titre d’exemple? 

En d’autres termes, dans ces pays, les compagnies de distribution d’eau ne se fondent pas sur un traitement poussé, un manque d’amélioration des infrastructures et des lacunes en matière de contrôle soigneux des opérations de distribution. 

Une trop grande concentration de chlore dans l'eau a pour danger au consommateur: le Cancer, les troubles cardiaques, le vieillissement mental et physique précoce sont des effets attribuables au chlore se trouvant dans l'eau de robinet.

Compte tenu de sa forte réactivité avec les composés organiques, son usage peut produire des sous-produits toxiques tels les trihalométhanes, dont le chloroforme dont la concentration est réglementée, et des chloramines en présence d’ammoniac. Dans tous les réseaux on ne doit pas dépasser 0,3 mg/L de chlore libre car l’ECS doit rester en permanence potable. Le pH de l’eau est important à prendre en compte car en dessous de 7,6 le chlore est majoritairement présent sous forme d’acide hypochloreux, plus biocide que l’ion chlorite présent à un pH supérieur. La température est aussi un paramètre important pour l’efficacité biocide qui augmente avec elle. Le chlore agit sur divers mécanismes du métabolisme bactérien (respiration, transport et acides nucléiques). Les bactéries utilisées classiquement comme indicateurs de la qualité microbiologique de l’eau sont très sensibles à la chloration alors que celles qui sont susceptibles de s’intégrer dans les amibes libres et les biofilms ne sont guère plus présentes dans l’eau (bactéries planctoniques) mais y persistent pour en ressortir dès la disparition du désinfectant. 

L’opération de nettoyage permet d’éliminer la plus grande partie des contaminants ainsi que des dépôts divers dans les canalisations. Cette étape est essentielle pour le bon déroulé de l’étape de désinfection. L’opération de nettoyage est souvent effectuée dans le cadre de travaux programmés.

Toutes les techniques de nettoyage mises en œuvre doivent répondre aux impératifs suivants :

1. Remettre en suspension et éliminer les dépôts ou incrustations susceptibles de générer des contaminations chimiques, ou bactériologiques.
2. Permettre un rinçage de la canalisation.
3. La technique doit être sûr pour la structure de la conduite.

Dans le but de prévenir tout retour accidentel d’eau potentiellement contaminée dans les réseaux en service, comment est-il possible de s’assurer de l’isolement du tronçon à nettoyer? La réponse serait de fermer les vannes menant à la portion traitée; pas suffisant pour un réseau non segmenté puisque l’eau et les produits résiduels de désinfection restent trop longtemps dans les conduites d’eau.

L’émergence d’une gestion dite intégrée traduit une transformation des rapports entre la société et les milieux naturels, mais surtout dans les modes d’action publique tel que la pollution du lac Tanganyika, du fleuve Nil et des cours d’eau qui alimentent ses derniers. Il s’agit donc d’une approche transversale, multi-objectifs, pluri-actoriale et territorialisée en matière de décisions et d’action a l’échelle nationale ; y compris :

1. Le suivi de la mesure dans laquelle les pays satisfont leurs besoins domestiques en eau et en assainissement et améliorent l'hygiène pour la santé publique,
2. La conception d'un cadre permettant une utilisation productive de l'eau pour soutenir la croissance économique dans la production alimentaire(irrigation), l'industrie et l'énergie,
3. L’évaluation de la qualité de la gestion des bassins fluviaux pour soutenir les services écosystémiques,
4. La conception d'un cadre qui permet de progresser, bien que cela reste un défi majeur pour notre communauté, vers de meilleurs services et une meilleure gestion de l'eau urbaine pour développer des villes et des villages dynamiques et vivables et
5. La conception d'un cadre permettant aux capacités de faire face et de se remettre des impacts des catastrophes liées à l'eau.

Autonomisation des ménages

Considérer la prise de conscience de la justice politique, de la justice sociale et de la justice économique d'une part et d'autre part, le développement et la sécurité : deux choses qui vont de pair comme piliers d'une coopération ou collaboration saine et transparente revient à considérer la nécessité de prendre conscience de l'importance d'une véritable stratégie d'autonomisation dans la manière de faire la politique dans les pays en voie de développement particulièrement en Afrique.

De plus, une coopération entre des états devrait être bénéfique en matière de transfert de technologies pour devenir les acteurs du développement. Il ne suffit donc pas de clamer et de proclamer son désir d'indépendance il faut plutôt prendre des mesures structurelles pour créer des communautés ou sociétés autonomes.

Bien que les élites politiques proclament la souveraineté nationale interne et externe, rien ne marche sans la mise en place des mesures structurelles qui sont des mesures concrètes dont : les mesures intellectuelles idéologique, les mesures économiques et financières, les mesures politiques, les mesures géopolitique et géostratégique. Si non il n'y a point d'indépendance. En d'autres termes, nous devons revenir sur ce qui nous rassemble à savoir la pratique de la justice et la pratique de la vérité. Ceci laisse présager que dans de bonnes coopérations, les Etats se considèrent mutuellement comme humanités à part entière et non comme des humanités entièrement à part. Puisque dans de telles conditions, le transfert des technologies industrielles pour le développement et la sécurité serait possible.

CEPROSEGA, Le multiplicateur de semences, à la base de la filière

Leur métier est la clé de départ de la sécurité alimentaire de chacun et leur rôle est capital : ils reproduisent des semences conformes aux semences de base fournies par les établissement semenciers dans le cadre d'un contrat de multiplication.