Face aux élites aliénées
L'aliénation des élites politiques militaro-politiques a pour conséquence la corruption intrinsèque et financière d'une part; d'où ces derniers font de la cupidité un mode de fonctionnement politique. D'autres part, la marginalisation; d'où la guerre psychologique et la manipulation idéologique et émotionnelle des du peuple, pensée mécanique et monomanie raisonnante et délirante de jeunes militants.
Alors, quelle est l'importance de la connaissance des expériences sur la psychologie ?
Connaître les expériences sur la psychologie une solution qui peut sauver le monde selon Gandhi: Les expériences sur:
La conformité , le point de basculement pour dire qu'il faut qu'il ait la prise d'initiatives ou la prise de conscience pour changer les choses ;
La peur sinon jouer sur les peurs, faire de sa pensée un empire : son manteau psychologique ;
La soumission à l'autorité: la culture psychologique càd la liberté; cela suppose que la conscience nécessite un effort et dire non demande plus d'effort que dire oui en toute situation: tout domaines et toutes circonstances.
Pourquoi les guerres: guerre psychologique, guerre de l'opinion et guerre du droit?
Soit entre les Etats, les ethnies ou les tribus d'un état. Les guerres servent d'outils dissuasif des impérialistes et néocolonialistes et des élites politiques corrompues pour assiéger le peuple dans la gouvernance hégémonique et perpétuent le misonéisme des citoyens.
Comment protéger les citoyens militant ?
La vocation de l'économie de la connaissance est de donner l'accès direct au pouvoir c'est-à-dire savoir pour prévoir et prévoir pour agir. En d'autres termes, les puissances se construisent sur des hommes vont développer la supériorité de leur esprit sur la matière puisque l'esprit unit et la matière sépare. Donc, des hommes qui inspirent le changement; ce qui est impossible pour un peuple qui vit le misonéisme. D'où, l'urgence de la pensée pour se libérer de manipulation idéologique et de la manipulation de l'opinion: volonté hégémonique d'un monde unipolaire.
Ce business plan demande du temps et beaucoup d’effort ; mais, c'est une nécessité et une mission prioritaire pour éveiller la participation citoyenne et l'autonomie des ménages et la sécurité nationale pour la justice sociale réussie.
Equité et Justice
L’équité est synonyme de justice, c’est-à-dire que les personnes, quelle que soit leur identité, sont traitées de manière juste. Cela veut dire qu’il faut veiller à ce que les mécanismes d’affectation des ressources et de prise de décision soient justes pour tous et qu’ils n’introduisent pas de discrimination en fonction de l’identité. Il faut adopter des mesures pour mettre fin à la discrimination et aux inégalités qui ont été signalées et documentées et pour garantir, dans la mesure du possible, l’égalité des chances.
Equité et Egalité
L’équité s’impose pour parvenir à l’égalité. Par exemple, il peut s’avérer inéquitable de traiter les gens comme s’ils étaient égaux dans un contexte où le système a longtemps désavantagé certaines personnes, si bien que ces personnes ne pouvaient pas fonctionner comme des égaux. Il manque alors la justice inhérente à une situation véritablement équitable.
Les stratégies d’équité sont différentes des stratégies d’égalité.
Stratégies d’équité
Les stratégies d’équité sont différentes des stratégies d’égalité. Pour différencier ces deux types de stratégies, on utilise l’énoncé suivant : « l’équité est un moyen, l’égalité est une finalité ». En d’autres mots, il ne s’agit pas d’offrir exactement le même traitement à chaque individu, mais plutôt d’adapter les stratégies en fonction de besoins spécifiques pour atteindre l’égalité.
Inclusion
L’inclusion se rapporte à la création d’un environnement où tous les gens sont respectés de manière équitable et ont accès aux mêmes possibilités. À l’échelle de l’organisation, l’inclusion exige qu’on recense et supprime les obstacles (physiques ou procéduraux, visibles ou invisibles, intentionnels ou non intentionnels) qui nuisent à la participation et à la contribution des personnes. Elle exige également une affirmation des valeurs et des principes d’équité, de justice et de respect en se montrant ouverts à différentes opinions et perspectives, en acquérant une compréhension des autres cultures, expériences et communautés et en faisant un effort conscient pour être accueillants, serviables et respectueux de to
Universal design
L’inclusion vise la transformation des milieux d’études, de travail et de vie pour les adapter à la diversité des personnes. En ce sens, l’inclusion rejoint la conception universelle
et se distingue de la ségrégation et de l’intégration.
Les stratégies qui visent l’inclusion dépassent les stratégies en équité ou les stratégies d’intégration. En effet, l’inclusion se focalise sur l’élimination des obstacles à travers la transformation des milieux plutôt que sur le fait d’outiller les individus pour dépasser les obstacles. L’inclusion est une responsabilité collective alors que l’intégration fait reposer la responsabilité sur les individus. Travailler pour l’inclusion signifie que l’on accepte de modifier l’environnement d’apprentissage, de recherche ou de travail pour que chaque personne puisse exprimer son plein potentiel.
Authenticité
Plus concrètement, l’inclusion porte sur la création d’un climat sécuritaire et positif au sein d’équipes. Le potentiel et les contributions de chaque personne peuvent y être mis de l’avant. De même, chaque personne peut se permettre d’être authentique, c’est-à-dire qu’elle n’a pas besoin de cacher une partie de son identité. Lorsqu’une personne doit cacher une partie de son identité pour intégrer une équipe et y contribuer, on parlera d’ « assimilation ». Les équipes de travail où les membres peuvent se permettre d’être authentiques pourront faire mieux, aller plus loin ou être plus innovantes que les équipes où les membres ne peuvent se le permettre.
Diversité: Hutu - Twa - Tutsi; des différences qui nous complètent!
La diversité se rapporte aux conditions, aux modes d’expression et aux expériences de différents groupes définis par l’âge, le niveau d’éducation, …, le lieu d’origine, l’origine ethnique, la culture, la situation socioéconomique et d’autres attributs.
La diversité se rapporte également à l’identité de genre ou à l’expression de genre. La reconnaissance et la valorisation de la diversité doivent s’accompagner d’efforts concertés pour assurer l’inclusion de diverses populations. En d’autres mots, il s’agit de faire en sorte que les individus soient et se sentent valorisés, respectés et soutenus. La valorisation de la diversité doit s’accompagner de pratiques inclusives, sans quoi, le plein potentiel d’une équipe ou d’un groupe diversifié ne pourra s’exprimer pleinement. En bref, l’inclusion est le moyen d’exprimer le plein potentiel de la diversité.
Système Abracadabrantesque
Par le biais de la manipulation émotionnelle, ils ont créé la dépendance affective dans l'esprit du jeune militant et tout citoyen ignorant, surtout au sein du parti politique unique au pouvoir ce qui a transformé la vigilance civile en milice pro gouvernement et perpétue la monomanie raisonnante et délirante chez les élites politiques et militaro-politiques soumises, les services de renseignement et milices…
Dépourvu d'équilibre émotionnel, source d'humilité : Ubuntu, Héritage et Socle de la prospérité partagée et de la justice sociale pour la participation citoyenne en vue d'une résilience locale, Nkurunziza et ses Machines de guerre, par le biais d'un putsch synonyme d'un système abracadabrantesque ayant pour but purger du gouvernement des Hutu-Tutsi-Twa éveillés et conscient de l'avenir obscur du Burundi, se sont livrés à l'aliénation mentale et ont fait de la cupidité un mode de fonctionnement politique et géopolitique tout en vendant l'âme des parties prenantes au sein du parti politique CNDD-FDD.
Pourquoi ? Installer le système mafieux pour occulter les intérêts supérieurs de la nation : scandale géologique minier et le pillage, business mafieux, sabotage économique et manipulation des conscients individuels et marginalisation du peuple… ECHEC DE LA DEMOCRATIE!!!
Comment sortir de l'esclavage mental ?
La démocratie ne s'exporte pas voire ne s'importe pas car elle se pratique dans une entente intérieure et propre à un peuple avec sa civilisation ; ce qui laisse présager que la démocratie un luxe pour les citoyens d'un pays comme le Burundi. On peut même dire que la démocratie ne correspond pas à l'idéal de la civilisation des africains.
La démocratie est donc un outil de l'hégémonie, une illusion qui peut être traduite en complexe de supériorité qui à son tour est perçu comme maladie mentale. En d'autres termes, la démocratie est une volonté caractéristique de l'égo des élites impérialistes, néocolonialistes corrompues qui se sont donnés pour mission vassaliser le monde en imposant leur valeurs morales. Étant donné que le complexe d'infériorité est la copie inverse du complexe de supériorité ou de la suprématie, prendre la parole devient prendre le pouvoir et par la suite prendre le pouvoir devient exclure la parole de l'autre ; une théorie qui résume les trois guerres dont la guerre psychologique, guerre d'opinion et la guerre du droit.
Considérer la prise de conscience de la justice politique, de la justice sociale et de la justice économique d'une part et d'autre part, le développement et la sécurité :deux choses qui vont de pair comme piliers d'une coopération ou collaboration saine et transparente revient à considérer la nécessité de prendre conscience de l'importance d'une véritable stratégie d'autonomisation dans la manière de faire la politique dans les pays en voie de développement particulièrement en Afrique. Dans l'objectif de sortir de l'hégémonie de l'impérialisme, du néocolonialisme et des élites dirigeantes corrompues, une coopération entre des états devrait être bénéfique en matière de transfert de technologies pour devenir les acteurs du développement. Il ne suffit donc pas de clamer et de proclamer son désir d'indépendance il faut plutôt prendre des mesures structurelles pour créer des communautés ou sociétés autonomes.
Les
mesures structurelles sont des mesures concrètes dont: les mesures
intellectuelles idéologique, les mesures économiques et
financières, les mesures politiques, les mesures géopolitique et
géostratégique. Si non il n'y a point d'indépendance. En d'autres
termes, nous devons revenir sur ce qui nous rassemble à savoir la
pratique de la justice et la pratique de la vérité car l'union
véritable entre les hommes se réalise d'abord sur le plan de
l'esprit avant de s'accomplir dans la chaire. Les fausses union sont
celles qui se réalisent prioritairement sur le plan de la chaire au
risque de ne jamais s'accomplir sur le plan de l'esprit ; l'esprit
unit et la matière sépare. Ceci laisse présager que dans de bonnes
coopérations, les Etats se considèrent mutuellement comme humanités
à part entière et non comme des humanités entièrement à part.
Puisque dans de telles conditions, le transfert des technologies
industrielles pour le développement et la sécurité serait
possible.
Equité
Justice
Egalité
Vérité
Inclusion
Solidarité
Justice avec le cosmos
Santé environnementale
Terrorisme intellectuel
Ils diront aux uns, vous avez raison et aux autres, vous n'avez pas tort… les ENNEMIS de la patrie!!!
« Terrorisme intellectuel » est une expression visant un adversaire qu'on accuse d'intimider ses contradicteurs, au moyen de procédés intellectuels malhonnêtes pour limiter la formulation d'idées jugées gênantes ou politiquement incorrectes.
Non! Ils ne représentent personne…!
Ce n'est que de l'ingénierie sociale.
Dictature en démocratie!
ou Démocrature!!!
La manipulation idéologique et la manipulation de l'opinion dans la démocratie sont des outils de la gouvernance hégémonique. La manipulation stipule qu'une minorité éclairée doit guider la masse/foule ; manipulation consciente et intelligente des actions et des opinions des masses. C'est à dire gouverné, former les esprits, éduquer les goûts et suggérer les idées des masses souvent par un cercle invisible : souvent dénoncé par les partis politique de l’opposition et surtout les organisations de lutte contre la corruption. Le fameux cercle invisible utilise un postulat psychologique pour instaurer une dictature mature ; c'est à dire qui consiste à influencer plutôt qu'à imposer. En d'autres termes la foule obéit à ses instincts et par la suite n'obéit pas à ses intérêts et à sa raison ce qui assiège le bas peuple dans le misonéisme : militants des partis politique surtout ceux du parti au pouvoir et ainsi perpétuer le sabotage économique et la corruption de haut niveau : patronage, népotisme et le clientélisme.
Corruption intrinsèque
En d'autres termes, la manipulation de l'opinion est une stratégie qui consiste à faire passer pour un progrès objectif une manipulation des conscients individuels. Donc, agir sous l'effet d'une manipulation c'est agir avec la croyance d'être libre, agir sans se rendre compte que le principe de son action a été influencé, agir avec conviction d'être libre : les services de renseignement et les jeunes militants en sont les exemples. En plus, la corruption intrinsèque reste un facteur déterminant du sabotage économique et la corruption financière au profit du confort d'un cercle vicieux qui assiège le peuple dans la pensée mécanique qui perpétue le misonéisme du peuple. D'où il y a l'urgence de la pensée pour une bonne mise en place de la décentralisation en parallèle avec l'intégrité et la lutte contre la corruption puisque le développement d'un pays dépend de la volonté politique de gestion de tout l'écosystème du pays.
Monomanie raisonnante
Avec les cris révolutionnaire et alarmiste des forces endogènes et exogènes, on se retrouve avec des élites qui s'agitent au lieu d'agir, qui réagissent au lieu de gouverner ce qui assiège le peuple dans la misère. Nul n'ignore la manipulation des élites militaro-politique corrompues pour des intérêts économiques, géopolitique et diplomatique. La corruption intrinsèque est l'outil de la volonté hégémonique de certains de nos élites militaro-politiques pour occulter les intérêts supérieurs de la nation. On a donc pas simplement besoins de politiciens mais des patriotes et souverainistes pour le développement durable et la résilience locale.
La solution aux conséquences de la corruption intrinsèque qui caractérise les oligarques d'aujourd'hui réside dans la prise de conscience que le subconscient domine le conscient puisque le changement de paradigme demande beaucoup de temps et d'efforts et surtout la sécurité et l’état de droit. Cela laisse présager que le processus successoral des élites est à prendre en considération de génération en génération tout en conscientisant les futures élites dès leurs jeunes âges.
La problématique des partis politiques
La problématique des partis politiques est le système des partis politiques c'est à dire la nature même des partis politiques qui est en cause. En d'autres termes, ce qui pose problème vient de l'homogénéité des idées et de la recherche du pouvoir et cela quel que soit le parti politique.
Ils vous diront qu'ils vous représentent…!
Nos Etats sont détruits par les élites politique, militaro-politique qui ont fait de la cupidité un mode de fonctionnement politique et géopolitique…
"IMIHIMBIRI, IBISUMA n'ABAMBUZI" d'après le Prince Louis RWAGASORE que les burundais authentique saluent.
Non! Ils ne vous aiment pas, plutôt, vous marginalisent…!
Ce n'est que de la monomanie raisonnante.
Qu'est-ce qu' un parti politique?
Les partis politiques prônent l'homogénéité des idées et la recherche du pouvoir tout en conservant la ligne du parti... si non on est dissident comme membre. L'homogénéité des idées suppose le regroupement des membres qui ont les mêmes idées... Et tout cela dans le but de peser : peser sur les décisions, peser sur l'opinion publique. Ce qui sous-entend qu'un parti qui ne pèse plus rien, elle est condamnée à l'inefficacité ; donc, l'échec devient très chers.
"Dans une assemblée, si tout le monde pense pareil c'est à dire qu'il y a quelqu'un qui ne pense pas".
Selon Schopenhauer et Gandhi: si une idée ne passe pas par le ridicule, elle ne peut pas être révolutionnaire...
Pour votre information, chaque idée révolutionnaire passe par trois étapes dont le ridicule, le dangereux et l'évidence... Et ce n'est pas synchrone ; c'est à dire que pour certains membres c'est du chienlit et pour d'autres c'est oser dénoncer les passions individuelles qui animent les génies de la manipulation.
La passion est ce qui divise et la raison est ce qui unifie; pourquoi en est-il ainsi ?
La passion crée les conflits, les tragédies et les trahisons. La raison crée la convergence, l'union et la vérité. La raison est donc la pièce de notre esprit qui nous permet d'être en contact avec le vrai. Nous devons donc nous affranchir de nos passions individuelles, du poids de notre égo pour embrasser l'universel. Raison pour laquelle une solution idoine est de grande nécessité au sein de nos communautés pour couper court aux aspirations profondes caractéristiques de l'impérialisme, du néocolonialisme et des élites politiques corrompues; et par la suite se concentrer sur ce qui nous rassemble : donc, la pratique de la vérité et la pratique de la justice au sein de nos communautés.
En quoi la problématique des partis politiques peut-elle poser problème ?
Homogénéité des idées : suppose rassembler les membres qui ont les mêmes idées or dans ces conditions, le pluralisme n'a pas de place ; ce qui revient à dire renoncer à la raison car l'expression et la cohabitation des idées divergentes sur tel ou tel autre sujet c'est prendre le risque d'affaiblir le parti, prendre le risque de créer de la division puisqu'on est censé faire bloc; si non, on parle de ligne dissidente donc, désobéir à l'autorité. Quand la ligne dissidente touche un groupe de membres on parle de scission. Ceci laisse présager que adhérer à un parti politique c'est renoncer à exprimer une pensée contradictoire, renoncer à l'exercice de la raison critique car la raison critique menace à tout moment de fragiliser l'équilibre et la stabilité du parti. Il est donc problématique s'exprimer une idée au nom d'une appartenance politique puisque c'est s'auto-conditionner à adhérer à une idée non parce que on l'a juge bonne ou vrai plutôt parce qu'elle fait partie du corpus idéologique du camp auquel on appartient. C'est donc créer les conditions de la pensée mécanique ; c'est à dire de la non pensée. C'est sacrifier la pensée sur l'autel du consensus ; ce qui signifie faire passer l'intérêt du groupe avant la vérité. D'après Durkheim, la pensée du parti politique exerce une pression sur la pensée des individus qui le composent ; on n'attend pas du militant qu'il exprime des idées mais plutôt qu'il soutient des idées du parti politique. Le militant qui se trouve en situation de divergence vis à vis de la ligne du parti politique doit faire un choix entre la fidélité au parti politique au la fidélité à sa pensée. Et s'il suit sa pensée il reste fidèle à lui-même mais il trahit le parti. Et s'il renie sa pensée il reste fidèle à son parti politique mais c'est lui-même qu'il trahit. Il y a toujours trahison dans les deux camps. Ce qui sous-entend que le dilemme du militant est le dilemme d'ordre moral ; choisir qui trahir. D'où la dissonance cognitive puisque les idées du parti ne triomphent pas parce qu'elles sont vraies, les idées triomphent parce que la force est de leur côté. Le militant se retrouve dans les conditions le contraignant à s'auto-hypnotiser pour se conformer à la fameuse ligne du parti ou même de vivre l'impuissance apprise.
La recherche du pouvoir : pour ce qui est de la recherche du pouvoir, le parti doit gagner en force et en influence ; pour dire qu'il se trouve confronté à l'opposition et à l'opinion internationale voire à tous ce qui n'est pas lui. Or tout ce qui n'est pas lui représente une menace ; ce qui revient à dire que le but d'un parti politique n'est pas un moyen d'instaurer le bien car il devient lui-même le bien et devient lui-même sa propre fin. Cela veut dire que tout ce qui est susceptible de favoriser la croissance du parti politique est un bien ; y compris le mensonge, y compris la compromission :
être royale au parti équivaut à être déloyale à la vérité.
le but d'un parti politique n'est pas d'avoir raison mais de convaincre qu'il a raison.
le pouvoir ne se construit pas sur la vérité mais plutôt sur de la croyance, sur de la passion.
Et finalement, le bien ne s'identifie pas au parti au pouvoir, le bien s'identifie par contre à la vérité.
Démocratie mondiale
La démocratie mondiale suppose une paix à l’échelle mondiale ce qui est une illusion ; pour résumer, en occident et ailleurs, la démocratie mondiale est un mythe occidental qui ne pourra jamais être source de paix puisque seul les valeurs fondées sur la solidarité, la justice et la vérité conduisent à la paix, la prospérité et la sécurité et l'état de droit.
Sortir de l'esclavage mental
La démocratie ne s'exporte pas voire ne s'importe pas car elle se pratique dans une entente intérieure et propre à un peuple avec sa civilisation ; ce qui laisse présager que la démocratie un luxe pour les citoyens d'un pays comme le Burundi. On peut même dire que la démocratie ne correspond pas à l'idéal de la civilisation des africains.
Protéger les citoyens militant
La vocation de l'économie de la connaissance est de donner l'accès direct au pouvoir c'est-à-dire savoir pour prévoir et prévoir pour agir. En d'autres termes, les puissances se construisent sur des hommes qui vont développer la supériorité de leur esprit sur la matière puisque l'esprit unit et la matière sépare. Donc, des hommes qui inspirent le changement; ce qui est impossible pour un peuple qui vit le misonéisme. D'où, l'urgence de la pensée pour se libérer de la manipulation idéologique et de la manipulation de l'opinion: volonté hégémonique d'un monde unipolaire.